Vous pouvez aider l'association les Amis du Corbeau des Mers de plusieurs maniéres :     - En devenant membre de l'association.     - En faisant un don à l'association (voir fiscalité des dons à l'association)     - En participant à la souscription organisé par l'association, le musée de la Résistance Bretonne en partenariat avec la Fondation du Patrimoine.     Ces trois actions sont indépendantes l'une de l'autre.
	- Les membres de l'association vous invitent, en outre, à partager avec eux les buts et objectis qu'ils se sont fixés.
	- Cette association a pour objet de ‘’faire naviguer’’ le ‘’Corbeau des Mers’’ qui, en plus d’être le dernier langoustier, témoin à flot, de la pêche à voile à l’île de Sein, est également le dernier bateau navigant témoignant du ralliement des marins pêcheurs Sénans à la France Libre, suite à l’appel du Général de Gaulle du 18 juin 1940.
	- En effet suite à cet appel sont partis rejoindre la France Libre, 128 hommes de l’Ile, représentant comme l’a qualifié le Général De Gaulle « le quart de la France » ceci dans 6 bateaux ‘’19/06/1940 Ar Zénith, 24/06/1940 La Velléda, Rouanez ar Mor, 26/06/1940 Corbeau des Mers, Maris Stella, Rouanez Ar Peoch’’, dont une vingtaine à bord du ''Corbeau des Mers''. Et en 1943 l'Yvonne Georges soit sept bateaux au total.
	- En témoignage du courage de ces marins,  l’ile de Sein sera faite Compagnon de la Libération aux côtés de Paris, Grenoble, Nantes, Vassieux en Vercors.
	- Depuis 1991, cet unique survivant de cette prestigieuse épopée est classé Monument Historique et Reconnu comme Trésor National après son  voyage à Newlyn du 26 juin 2010.
	- L’association est donc créée dans le but de donner les moyens directs ou indirects, humains et financiers permettant le maintien en état de navigation du « Corbeau des Mers » et de payer les frais annexes nécessaires à l’entretien, difficile et couteux d’un bateau en bois.
	- Le ‘’Corbeau des mers’’ est à jamais le seul bateau « à la mer » parmi ceux qui ont quitté l’Ile de Sein en 1940. Ce survivant doit impérativement être maintenu dans son élément « la mer » pour continuer à vivre et à exister.
	- Si pour une quelconque raison il était ‘mis à terre’, le bois dont il est construit sécherait, pourrirait. Ce faisant disparaitrait à jamais  le témoignage vivant du sacrifice de nos ainés.